Présentation de la guilde

“Et toi, tu veux savoir ce que sont les Marcheurs du Silence ? Cela te paraît pompeux, arrogant, comme nom, dis-tu ? Tu peux penser ça. Tu pourrais, oui. Rien de t’en empêchera : ni moi, ni personne. Mais sache seulement que les Marcheurs sont plus que ça. C’est un nom, oui, mais c’est aussi un titre, une façon de vie, une communauté, une famille. Mais avant tout, c’est la Liberté, la vraie. Un soldat est dépendant des ordres qu’il reçoit, un mercenaire, lui, de son argent qu’il attend. Un marcheur n’a de compte à régler qu’avec lui-même. C’est un combattant léger, une ombre, qui suit sa propre voie et peut choisir d’enseigner ses compétences aux plus jeunes, de guider un apprenti pour qu’il vole de ses propres ailes. Être un Marcheur du Silence, ça peut être tout simplement le possibilité d’utiliser ses talents, tous ses talents, de profiter de l’expérience des autres, d’avoir une famille. Être marcheur, c’est autant être un voltigeur qu’un espion, un voleur qu’un assassin, un apprenti qu’un maître, un protecteur qu’un mercenaire. Un marcheur est ce qu’il veut, un marcheur est neutre et libre. Tu veux savoir ce qu’ils sont, hein. Alors je te le dis : ils sont les yeux, les oreilles, les mains et les dagues de leur propre voie et de leurs compagnons. Voilà ce qu’est la confrérie des Marcheurs du Silence.”

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Après recherche, il semblerait qu’aucun ordre officiel ne réponde au nom de Marcheurs du Silence. Rien n’en est dit, et il est difficile d’en apprendre beaucoup plus que des mots volés au détour d’une ruelle, provenant de silhouettes félines et discrètes, dont les pas assurés ne font pas un bruit.
Mais il est dit, d’une rumeur colportée par le vent, qu’en adressant une lettre au gnome nommé Jean-Nicolas au quartier des nains - un ingénieur à moitié sourd et à demi aveugle, dont le caractère irascible n’est plus à démontrer - il est possible d’entrer en contact avec eux. Cela paraît bien être la seule solution : comment, sinon, escompteriez vous attraper des ombres ?

La confrérie des Marcheurs du Silence est une guilde réservée aux combattants légers, voleurs et furtifs de tout genre : à cela nous préférons les rogues, mais il est possible de guilder des moines s’ils sont orientés plus sur le combat dans les arts martiaux sans la magie qui va avec la classe, et des chasseurs s’ils sont orientés maraudeurs, rôdeurs, ou des choses discrètes du genre.
Le principe est une petite communauté neutre, sans aucune affiliation particulière, permettant à ses combattants de faire usage de toutes leur capacité en garantissant une indépendance et une certaine liberté. De là, cela va de l’espionnage et à la récolte d’informations pour les archives, à la protection en tant que garde du corps, mercenaire de temps en temps, voleur ou assassin (uniquement de PNJ pour ce point), à apprenti ou maître.
Le corps officier est composé, actuellement, de LJD d’Aedren et de LJD Varamira, disponibles en jeu ou via MP pour toute question ou information supplémentaire.

La guilde va tourner autour de plusieurs axes : la récolte d’informations, l’espionnage, et les contrats (vols/assassinats - PNJ uniquement -/protection) et l’argent récolté de toutes ces choses servira au financement des cours et apprentissages divers, ainsi que pour le loyer du refuge qui sert à qui le veut (à noter que tous les marcheurs sont aussi indépendants qu’ils le souhaitent, exception faite des apprentis qui doivent rester à portée de vue).

Pour ce qui est de la récolte d’informations, une partie sur le forum y est dédiée et l’accès est restreint à ceux ayant passé la période de test, cependant, tous les guildés peuvent poster dans la salle des archives en attendant que le sujet soit déplacé sous bonne clef, jusqu'à avoir les droits pour le faire directement.
La confrérie s’intéresse aux ordres, aux particuliers, et aux événements. Tout ce qui peut gonfler les archives est intéressant et bon à prendre, sans que ces choses là ne soient reliées à des events/campagnes ou autre en cours.
C’est un sujet délicat et nous demandons toute la bonne foi de nos joueurs pour ne pas faire usage du meta-gaming, difficilement vérifiable par les officiers lorsqu’ils ne sont pas présents, hélas. Mais nous tenons à ce que nos informations soient récoltées par une façon RP.
Au sujet des contrats : les vols, la sécurité, la protection, tous ceux là peuvent être fait au sein de la guilde comme par un marcheur seul, indépendamment de celle-ci, et avec qui il veut. Pour ce qui est des assassinats, il en sera organisé en events qu’avec des PNJs, et non pas avec des joueurs par principe.
Il y a, en dernier, le RP d’apprentissage, entre les précepteurs et les apprentis. Généralement, un élève se voit attribuer un professeur et ce sera à celui-ci de s’occuper de lui, de ses cours, avec possibilité de recevoir de l’aide des autres membres de la confrérie si désiré.

Notons que, comme dit précédemment, un membre de la Confrérie peut très bien agir de manière indépendante tant qu’il 1) assume tout seul également les conséquences de ses agissements et 2) ne met pas en danger la réputation ou les autres membres de la Confrérie.

Les agissements de la Confrérie seront ainsi séparés symboliquement des actes individuels par une “signature”, un S ceint d’un cercle, laissé sur les lieux des coups d'éclats.

La guilde fonctionne avec peu de grades.

• Novice : le nouveau venu, qui aura ce grade pour la période de test d’environ deux semaines - durée qui peut être rallongée ou raccourcie selon le joueur et sa participation, où il est nécessaire de faire ses preuves.
  
• Apprenti : comme le nom l’indique, les apprentis sont mis sous la tutelle d’un professeur, sont ceux dont l’art n’est pas assez affirmé, et qui sont pris en charge par les marcheurs (logement, nourriture...).
  
• Arpenteur : un compagnon, un membre confirmé et régulier, qui maîtrise son art - quel qu’il soit, et qui a gagné la confiance des autres.
  
• Précepteur : maître, enseignant. Ils s’occupent des élèves et n’ont pas d’autorité particulière sur le reste, si ce n’est le respect dû à leurs capacités.
  
• Echo : les dirigeants qui oeuvrent plus ou moins dans l’ombre mouahaha, s’occupent de l’organisation générale, des choses que personnes n’aiment (les comptes et les inspecteurs d’impôts), et qui veillent au bon déroulement des choses.
  

La hiérarchie est un peu spéciale, puisqu’il n’y en a pas à proprement parler. Les échos sont les dirigeants, mais, sans aller jusqu’à être une démocratie, l’avis de tout un chacun sera demandé lors des réunions et des décisions à prendre qui sont d’importance. En mission, les ordres seront donnés par les échos ou quelqu’un désigné par eux, mais jamais aux apprentis.

En dehors des missions organisées par et au sein de la confrérie, les arpenteurs n’ont de comptes à rendre à personne, exception faite s’ils font des bêtises au nom des marcheurs de leur propre chef, ou des actions particulièrement stupides.

Les marcheurs peuvent choisir de résider au sein de la confrérie, dans un petit refuge qui se trouve non loin d’Hurlevent, matéralisé IG par l’étage tout en haut de l’abbaye de Comté-du-Nord, et peuvent aussi bien choisir de ne pas le faire et d’aller voguer où ils le souhaitent. Ce lieu est bien caché et protégé, et tous les marcheurs y sont les bienvenus. Pas les inconnus, en revanche.
A part ce bâtiment, ils n’en ont pas de particulier.

Il est possible d’en croiser quelques uns en ville et, après s’être renseigné, il est possible de trouver que la plupart d’entre eux portent un insigne particulier sur un coin de leur tenue : un œil stylisé et entouré d’arabesques. Les membres sont libres de le porter, ou non.

Et sinon, il est possible de déposer une lettre sur la tombe la plus éloignée, dans le cimetière, la toute dernière, lorsque l’on veut postuler. Et si l’on veut juste prendre contact, il est aussi possible de le faire en remettant une lettre à Jean-Nicolas, gnome ingénieur au quartier des nains.